LE 8 DÉCEMBRE 2024, LA RENAISSANCE DE NOTRE DAME DE PARIS

 

LE 8 DÉCEMBRE 2024, 

LA RENAISSANCE 

DE NOTRE DAME DE PARIS




PLUS DE 60 ANS POUR BÂTIR NOTRE DAME DE PARIS

Au IVe siècle, avec l’avènement de Clovis, Paris devient « capitale » chrétienne du royaume des Francs. C’est alors qu’une première cathédrale Saint-Etienne est bâtie au VIe siècle. L’essor de la ville débute au XIIe siècle après les invasions normandes. La ville prospère, elle devient un lieu d’échanges artistiques et intellectuels, dotée de collèges et d’une université de philosophie et théologie. C’est ainsi que débute l’histoire de Notre Dame.

Parallèlement, les croisades vers Jérusalem et les pèlerinages vers Saint-Jacques-de-Compostelle déplacent des milliers de fidèles sur les chemins. L’île de la cité est une étape incontournable pour franchir la Seine. De fait, les fidèles affluent dans le quartier de la cité. Ils génèrent de l’activité commerciale et des offrandes pour le culte. Dans ce contexte, Maurice de Sully, évêque de Paris, entreprend la construction d’une nouvelle et vaste cathédrale pour accueillir les fidèles. Au XIIIe siècle, la population de Paris double.



LA FRANCE SOUS LA PROTECTION DE LA SAINTE VIERGE

La cathédrale s’agrandit et se modifie pour devenir un modèle de l’architecture religieuse. Durant la Renaissance, les goûts évoluent, son attrait est délaissé. Au XVIIe siècle, par le vœu de Louis XIII, le royaume se place sous la protection de la Vierge et promet un nouveau maître-autel pour la cathédrale – qui sera réalisé par son fils, Louis XIV. 



NOTRE DAME ET L'HISTOIRE CONTEMPORAINE

De grands aménagements ont lieu au XVIIIe siècle. Malmenée par les intempéries et la Révolution, la cathédrale menace de s’effondrer au XIXe siècle. Portée par un regain de popularité grâce à Notre-Dame de Paris de Victor Hugo, l’État décide de travaux de restauration au XIXe siècle. Classée au patrimoine mondial de l’UNESCO en 1991, la cathédrale est un haut lieu du culte chrétien et le monument le plus visité de France en 2018.



NOTRE DAME DE PARIS DE VICTOR HUGO

En 1831, Victor Hugo réinvente le Moyen Âge et élève un monument littéraire aussi durable que l’œuvre de pierre qui l’a inspiré. Sous la silhouette noire et colossale de la cathédrale fourmille le Paris en haillons des truands de la Cour des Miracles. Image de grâce et de pureté surgie de ce cauchemar, la bohémienne Esméralda danse pour le capitaine Phoebus et ensorcelle le tendre et difforme Quasimodo, sonneur de cloches de son état. Pour elle, consumé d’amour, l’archidiacre magicien Claude Frollo court à la damnation.

De cette épopée hallucinée, ces monstres et ces figures s’échappent pour franchir les siècles, archétypes de notre mythologie nationale, de notre art et de notre Histoire.



CINQ ANS POUR SAUVER NOTRE DAME DE PARIS

A la suite de l’incendie du 15 avril 2019, qui détruit la charpente médiévale et la flèche de la cathédrale, un important chantier de restauration est mené afin de la rouvrir au culte et aux visiteurs le 8 décembre 2024.




LE FILM : "NOTRE DAME BRÛLE"

Le long métrage de Jean-Jacques Annaud, reconstitue heure par heure l’invraisemblable réalité des évènements du 15 avril 2019 lorsque la cathédrale subissait le plus important sinistre de son histoire. Et comment des femmes et des hommes vont mettre leurs vies en péril dans un sauvetage rocambolesque et héroïque.



UN TRAVAIL DE COMPAGNON DU DEVOIR

La reconstruction de la cathédrale Notre-Dame de Paris risque d’être confrontée « à un manque de main-d’œuvre en France en tailleurs de pierre, charpentiers et couvreurs », des métiers « peu valorisés », avertissait, mardi 16 avril, le secrétaire général des Compagnons du devoir, Jean-Claude Bellanger.

Cette association ouvrière, qui forme une « élite » dans les métiers manuels, est étroitement liée à l’histoire même des cathédrales, puisque c’est sur les chantiers médiévaux que sont nés et ont prospéré les compagnonnages. Maçonnerie, charpenterie, plomberie, zinguerie, menuiserie… les jeunes peuvent être formés à partir de 15 ans et, en suivant des cours classiques le soir et le samedi, obtenir jusqu’à une licence professionnelle. Le titre de « compagnon » est délivré après un tour de France de deux à six ans en moyenne et la réalisation d’un chef-d’œuvre attestant de sa connaissance du métier – seuls trois apprentis sur dix y parviennent.



Un manque de vocations

L’intervention de M. Bellanger est une façon d’alerter sur le manque de vocations dans les métiers manuels, davantage que sur une réelle pénurie de main-d’œuvre à venir pour la reconstruction de la cathédrale parisienne. Evoquant la nécessité de recruter en apprentissage pour ce chantier, dès septembre, cent tailleurs de pierre, cent cinquante charpentiers et deux cents couvreurs, le responsable de ces centres d’apprentissage souligne que « ces métiers manuels sont peu valorisés et attirent peu ».

Pourtant, selon lui, « les Compagnons du devoir forment chaque année environ mille charpentiers, sept cents couvreurs et quatre cent cinquante tailleurs de pierre », sachant qu’il existe aussi, outre les Compagnons du devoir, deux autres associations reconnues en France : la Fédération compagnonnique (les Compagnons du tour de France forment plus de 1 000 jeunes sur ces métiers) et l’Union compagnonnique.

En théorie, donc, il y aurait assez de ressources pour le chantier de Notre-Dame de Paris, si ce dernier ne devait être réalisé que par des compagnons. Tout au plus pourrait-on se demander si d’autres chantiers historiques nécessitant l’intervention de ces ouvriers d’élite pourraient éventuellement souffrir d’une pénurie, si tous les effectifs des compagnons sont tournés vers la cathédrale.



Des entreprises agréées « monuments historiques »

Mais la question est, en réalité, plutôt rhétorique : tous les ouvriers travaillant sur un chantier des monuments historiques ne sont pas nécessairement compagnons. Ce sont les entreprises qui doivent être agréées quand elles interviennent sur ce type de chantier, pas les ouvriers.

Au final, explique sur Facebook Jean-Marc Schaffner, président de la Fédération française du bâtiment du Grand-Est, « Notre-Dame de Paris sera reconstruite par des entreprises qui répondront à l’appel d’offres. Les Compagnons n’auront rien à dire, à part s’ils sont capables de former un groupement d’entreprises qui répond à la consultation et qu’ils sont retenus ».

Une autre question est celle des techniques qui seront choisies et de leur niveau d’enseignement. « Il faudra d’abord se mettre d’accord : privilégiera-t-on une restauration à l’identique, c’est-à-dire telle qu’on la connaissait jusqu’à hier, ou alors reviendra-t-on aux fondamentaux de sa construction médiévale ? Ou alors inventer une nouvelle architecture pour la restauration ? », interroge Patrice Bernard, de la Fédération compagnonnique des métiers du bâtiment – l’architecte Jean-Michel Wilmotte évoquait ainsi la possibilité d’une flèche en carbone et d’une couverture en titane, des techniques innovantes que ne maîtrisent pas forcément tous les compagnons.




UNE MUSIQUE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX

UNE MARSEILLAISE SUR LES GRANDES ORGUES DE NOTRE DAME DE PARIS

https://youtu.be/CbwJACUxXdo




Claude Joseph Rouget de Lisle, capitaine du génie en garnison à Strasbourg, écrit à la demande de Frédéric de Dietrich, maire de la ville, le Chant de guerre pour l’armée du Rhin, le 25 avril 1792, peu après la déclaration de guerre de la France révolutionnaire au Roi de Bohême et de Hongrie.

Un exemplaire du chant dédié à l’armée du Rhin parvient à Montpellier entre les mains de François Mireur récemment inscrit sur la liste des volontaires du bataillon de l'Hérault. Mireur gagne Marseille avec son unité. A la fin d'un banquet offert aux délégués par le Club des amis de la Constitution, il interprète le chant repris par l'assistance électrisée. Deux journalistes, Alexandre Ricord et Micoulin, après avoir demandé des copies du chant écrit par Rouget de Lisle, décident de le publier.

En route pour Paris les bataillons de fédérés marseillais commandés par Barbaroux se mettent à entonner le chant volant de ville en ville. Barbaroux écrira dans ses Mémoires : « Je me souviens toujours avec attendrissement qu'au dernier couplet de l'hymne, lorsqu'on chante : Amour sacré de la patrie, etc. tous les citoyens se mirent à genoux dans la maison et dans la rue. J'étais debout sur une chaise où l'on me retint : Dieu ! quel spectacle ! des larmes coulèrent de mes yeux. Si je fus pour eux en ce moment comme la statue de la Liberté, je puis m'honorer au moins de l'avoir défendue de tout mon courage. »



L'hymne est repris à l'entrée des fédérés marseillais dans Paris en juillet 1792. Un numéro de La Chronique de Paris note que les Marseillais « le chantent avec beaucoup d'ensemble et le moment où ils agitent leurs chapeaux et leurs sabres, en criant tous à la fois Aux armes, citoyens ! fait vraiment frissonner. Ils ont fait entendre cet hymne guerrier dans tous les villages qu'ils traversaient et ces nouveaux bardes ont inspiré ainsi dans les campagnes des sentiments civiques et belliqueux ; souvent ils le chantent au Palais-Royal, quelquefois dans les spectacles entre les deux pièces. »

Le chant est enseigné sur les places publiques et se répand à toute vitesse. Il est alors appelé Hymne des Marseillais puis deviendra La Marseillaise jouée dans tout le pays comme chant de la République combattante. Ce chant devient un véritable « Te deum révolutionnaire » selon l'expression de Goethe. Ainsi, après la victoire de Valmy, le général Kellermann demande au ministre de la guerre, Servan, l'autorisation de faire exécuter un Te Deum. « La mode des Te Deum est passée, lui répond Servan, il faut y substituer quelque chose de plus utile et de plus conforme à l'esprit public. Je vous autorise donc, général, si vous croyez avoir besoin d'autorisation, à faire chanter solennellement, et avec la même pompe que vous auriez mise au Te Deum l'Hymne des Marseillais que je joins ici à cet effet. »

La Marseillaise est même mise en scène. Dans  L'Offrande à la Liberté, orchestrée pour la première fois par Gossec, elle est offerte en spectacle le 2 octobre 1792.

La Marseillaise accompagne les grandes fêtes civiques. On lui ajoute des couplets dont certains sont chantés à la tribune de la Convention par les délégués de sections. On retiendra l'ajout d'un septième couplet dit couplet des Enfants, attribué à Louis Dubois ou à l'abbé Pessonneaux. La Marseillaise l'emporte sur Le Chant du départ. En 1793 la Convention nationale décrète que La Marseillaise sera chantée dans tous les spectacles et, malgré la réaction thermidorienne qui aurait pu définitivement l'identifier à l'an II,  le 14 juillet 1795  (26 messidor an III), elle déclare La Marseillaise « Chant national » par décret adopté après une motion de Jean de Bry. Au cours de la séance la Convention fait exécuter par l'orchestre de l'Institut national de musique le chant national que les députés écoutent debout et découverts. C'est dans l'enthousiasme qu'est adoptée la demande de Jean Debry « que l'hymne à jamais célèbre des Marseillais soit consigné tout entier dans le procès-verbal d'aujourd'hui. Cet excellent patriote fut incarcéré six mois sous la tyrannie de Robespierre, tandis que le chant dont il avait composé les paroles et la musique conduisaient nos frères à la victoire. Je demande que le nom de l'auteur de L'hymne des Marseillais, de Rouget de Lisle, soit honorablement inscrit au procès-verbal d'aujourd'hui. Cet excellent patriote fut incarcéré six mois sous la tyrannie de Robespierre, tandis que le chant dont il avait composé les paroles et la musique conduisaient nos frères à la victoire. » Lors de la séance du 9 Thermidor an III, Bailleul ancien député girondin et futur Président, déclare : « L'hymne aux accents duquel nos soldats marchent est sacré ; et l'on ne doit pas le proscrire, parce que des cannibales l'ont profané en le chantant à la suite des voitures qui traînaient les victimes à l'échafaud. » 

Moins de deux ans après le coup d'État du 18 Brumaire La Marseillaise est chantée officiellement pour la dernière fois le 14 juillet. Une dernière célébration de la République a lieu le 1er Vendémiaire an IX (20 septembre 1800). Jugée trop jacobine, interdite sous l’Empire, lui substituant Veillons au salut de l'Empire,puis la Restauration, elle resurgit sur les barricades des Trois Glorieuses, inspirant  la peinture de Delacroix « La liberté guidant le peuple ». Dans l'enthousiasme des journées révolutionnaires Hector Berlioz écrit un arrangement de l'Hymne de Marseillais à Grand Orchestre et à Double Chœur dédié à M. Rouget de Lisle, Auteur de la Musique et des Paroles. La première version de l'œuvre est publiée par Schlesinger. Dans ses Mémoires Berlioz a rappelé l'émotion intense de la foule,  massée dans la galerie Vivienne à Paris, lorsque la foule reprit  La Marseillaise entonnée par un petit groupe de jeunes gens : « A la vue de cet immense concours du peuple, je m'étais rappelé que je venais d'arranger le chant de Rouget de Lisle à grand orchestre et à double chœur, et qu'au lieu de ces mots : tenors, basses, j'avais écrit à la tablature de la partition : Tout ce qui a une voix, un cœur et du sang dans les veines. » (Mémoires, XXIX) Le 20 décembre 1830 Rouget de Lisle écrit à Berlioz : « Votre tête paraît être un volcan toujours en éruption ; dans la mienne, il n'y eut jamais qu'un feu de paille qui s'éteint en fumant encore un peu. Mais enfin, de la richesse de votre volcan et des débris de mon feu de paille combinés, il peut résulter quelque chose. »

D'autres compositeurs aussi ont été ou auront été inspirés par le souffle de La Marseillaise tels Salieri, Schumann, Wagner, Liszt, Tchaïkovski et Debussy.

En 1832 les funérailles du général Lamarque, ancien soldat de la Révolution et de l'Empire, opposé à Louis-Philippe, sont l'occasion de violentes manifestations au cours desquelles les insurgés républicains entonnent La Marseillaise. Pour le sixième anniversaire des Trois Glorieuses est inauguré l'Arc de Triomphe comportant le haut-relief de Rude La Marseillaise.

La Marseillaise reparaît en 1840 dans un climat nationaliste. Peu après en Allemagne sont créés le Deutsche Rhein de Nicolaus Becker, la Wacht am Rhein de Schekenburger ainsi que le Deutschlandlied écrit par August Heinrich von Fallersleben. La Marseillaise retentit à nouveau lors de la Révolution de 1848. « Sans arrêt le tambour, les coups de fusil,  La Marseillaise. », écrit Heine. La Marseillaise est alors chantée dans l'Europe du printemps des peuples.

Sous le Second Empire La Marseillaise, à laquelle le régime préfère la romance Partant pour la Syrie composée en 1809 et attribuée à Hortense de Beauharnais, mère de Napoléon III, est interdite dans les lieux publics. C'est un chant séditieux et en 1869 le journal d'opposition La Lanterne d'Henri Rochefort reparaît sous le titre La Marseillaise.



Comme en 1792, comme en 1830 et comme en 1848, La Marseillaise revient avec la proclamation de la République et retentit sous la Commune.

« Aux armes, citoyens ! Aux fourches, paysans !

Jette-là ton psautier pour les agonisants,

Général, et faisons en hâte une trouée

La Marseillaise n'est pas encore enrouée. » (Victor Hugo, L'Année terrible)


Elle redevient « hymne national » sous la Troisième République, en 1879. Au cours d'une séance présidée par Gambetta, le 14 février, la Chambre des députés adopte l'hymne de La Marseillaise. Elle est exécutée le 14 juillet 1879 à Longchamp. En 1880 le jour anniversaire de la prise de la Bastille (14 juillet 1789) et celui de la fête de la Fédération (14 juillet 1790) deviennent fête nationale. Sarah Bernhardt prête son concours à l'exécution de l'hymne national. Une version officielle est adoptée en 1887. A l'occasion du transfert des cendres de Rouget de Lisle aux Invalides  le 14 juillet 1915, Raymond Poincaré déclare : « Dans la genèse de notre hymne national, nous trouvons à la fois un splendide témoignage du génie populaire et un exemple émouvant de l'unité française. » La Marseillaise est devenue incontournable ainsi qu'en témoigne la célébration du centenaire de la mort de Rouget de Lisle en juillet 1936 sous le gouvernement de Front populaire.  « La Marseillaise nous inspire dans notre lutte pour la paix, dans la sécurité, l'honneur et la dignité de notre peuple. », déclare alors Maurice Thorez. En 1938 c'est sous le titre de La Marseillaise que Jean Renoir met en scène la Révolution française. 

La Marseillaise résiste pendant la guerre au Maréchal, nous voilà ! et c'est à ce chant que les résistants bravent leurs bourreaux.

Ce sont les accents de La Marseillaise, qui symbolisent la liberté retrouvée à la Libération de Paris, tout au long de la journée du 25 août 1944.

La Constitution du 27 octobre 1946 reconnaît que l'hymne national est La Marseillaise, ce que consacre l’ article 2 de la Constitution de la Cinquième République, l’associant au drapeau tricolore, à la devise de la République et au principe de démocratie.

La Marseillaise, au-delà du chant guerrier des origines accompagne la réconciliation et la paix.

 A Douaumont, près de Verdun, lors des célébrations du 70ème anniversaire de la bataille de Verdun, lors de l'exécution de La Marseillaise, le Président François Mitterrand et le Chancelier Helmut Kohl se tiennent la main sur le lieu même de la bataille la plus meurtrière de la Première guerre mondiale. 

Aujourd’hui La Marseillaise est bien plus que l’hymne national. « Ce cri de la France prolongé d’échos en échos » est un message chanté sur tous les continents par les combattants de la liberté.



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Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique​.​

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