L'ART DU PORTRAIT DE MOÏSE KISLING (1891-1953)

 

L'ART DU PORTRAIT 

DE MOÏSE KISLING (1891-1953)




"LETTRES À LOU" de GUILLAUME APOLLINAIRE 

L’histoire commence le 27 septembre 1914 : Apollinaire rencontre Louise de Coligny-Châtillon à l’occasion d’un déjeuner dans un restaurant de Nice. Immédiatement il tombe sous son charme, dès le lendemain il lui écrit :

"Vous ayant dit ce matin que je vous aimais, ma voisine d’hier soir, j’éprouve maintenant moins de gêne à vous l’écrire. Je l’avais déjà senti dès ce déjeuner dans le vieux Nice où vos grands et beaux yeux de biche m’avaient tant troublé que je m’en étais allé aussi tôt que possible afin d’éviter le vertige qu’ils me donnaient. "

Mais celle qu’il surnomme Lou n’est pas prête à lui accorder ses faveurs, si bien qu’abattu par ses dérobades, Apollinaire s’engage volontairement dans l’armée. Louise le rejoint pourtant une semaine à Nîmes où il fait ses classes mais encore très attachée à un autre homme, elle rompt avec Apollinaire à la veille de son départ pour le front en mars 1915, en se promettant de rester amis.



Apollinaire et Lou nourrissent une abondante correspondance jusqu’en janvier 1916 car le poète, comme beaucoup d’autres poilus, écrit beaucoup pour garder le moral. Ce sont ces nombreux courriers qui donneront naissance aux Lettres à Lou, des lettres parfois très romantiques, parfois érotiques mais toujours d’une grande beauté. Il y exécute également quelques calligrammes comme celui-ci en forme de palmier que l’on a pu retrouver chez Sotheby’s en 2014 :


"Je vous salue Lou comme fait votre arbre préféré le palmier

du grand jardin marin soulevé comme un sein

Votre chevelure pareille au sang répandu

Mourir et savoir enfin l’irrésistible Eternité

Oliviers vous battiez ainsi que font parfois ses paupières

Par ce livre dur et précis dans la joie

apprenez ô Lou à me connaître afin de ne plus m’oublier

mais perché sur l’abîme je domine la mer comme un maître

et je place ici même malgré vous votre pensée la plus secrète."


Dans cette correspondance, Apollinaire affiche une obsession : confectionner pour Lou une bague à partir d’un éclat d’obus, « taillée dans un métal d’effroi ». Il l’évoque pas moins de trente fois dans les Lettres à Lou ! Il écrit le 7 avril 1915 « On passe le temps à faire des bagues. Envoie-moi la mesure de ton annulaire pour te faire une bague » ; puis le 10 avril « Il faut que je reçoive, ô mon Lou, la mesure exacte de ton doigt car je veux te sculpter une bague très pure dans un métal d’effroi ». Il finit par créer cette bague sur laquelle il inscrit son amour « Gui aime Lou » et qu’il envoie à son adorée.



Le 17 mars 1916 il est blessé à la tempe et évacué sur Paris. Il est trépané et entame une longue convalescence. Il ne reverra Lou une dernière fois que vers 1917 / 1918 avant de décéder le 9 novembre, deux jours avant l’armistice. Il est enterré au cimetière du Père-Lachaise tandis qu’ironiquement tout Paris crie “A mort Guillaume !” faisant référence à Guillaume II d’Allemagne qui vient d’abdiquer.

Mais l’histoire d’Apollinaire et de Lou ne s’arrête pas là. Après la guerre, André Rouveyre parent de Lou et proche d’Apollinaire écrit un article sur les dernières années du poète. Émue par ce récit, Lou adresse en 1920 un courrier à Rouveyre dans lequel elle confie ses regrets :

“La mort qui empêche à jamais les amis de se réconcilier – est une chose horriblement triste ! Il t’a parlé de l’inconstance de mon amitié – je lui ai fait de la peine parce que je ne l’ai pas compris… il y avait un trop grand abîme entre sa mentalité et celle dans laquelle j’avais vécu jusque là… Plus tard avec plus d’expérience de la vie, nous nous serions rapprochés j’en suis sûre – nous devions être des amis ! Seulement il y avait les premières incompréhensions à vaincre… "

Louise De Coligny-Châtillon, dite Lou

Lettre autographe signée à André Rouveyre. 1er octobre 1920.

En 1940, Lou offrira la fameuse bague à André Rouveyre, « celle que j’aimais mais qui est très abîmée » lui écrira-t-elle. Rouveyre la fait insérer dans une bague en or, portant une plaque en or jaune avec l’inscription « Gui aime Lou ».

Les Lettres à Lou ont été rassemblées dans un recueil à retrouver aux éditions Gallimard.




BIOGRAPHIE D'UN POÈTE

Guillaume Apollinaire poète  d'origine polonaise par sa mère devenu français sur un champ de bataille... Et mort de la grippe espagnole l'avant veille de l'armistice de la première guerre mondiale. 


Quelles sont les particularités des origines de Guillaume Apollinaire ?

De nationalité russe puis naturalisé français en 1916, né à Rome d'une mère polonaise, il vit pendant son enfance en Italie et à Monaco et parle italien et russe, il voyage en Allemagne, en Angleterre, en Belgique, en Hollande… Ses poèmes se nourrissent ainsi de toutes ces cultures.


Pourquoi Apollinaire s'engage dans l'armée ?

Né Wilhelm Apollinaris Albertus de Kostrowitzky, il s'engage en novembre 1914 pour défendre la France, devenue sa patrie, juste après avoir rencontré Lou, une jeune femme pour laquelle il écrira des poèmes d'amour (« Poèmes à Lou »).


Comment Apollinaire Opère-t-il une transformation poétique de la guerre ?

voit qu'il ne s'agit pas d'enjoliver la guerre, mais de traduire la double vision, à la fois guerrière et poétique, dans une unique formulation. C'est en ce sens que la guerre possède des « merveilles » (un poème porte ce titre), non qu'elle soit merveilleuse, mais parce qu'elle offre un champ poétique inexploré.




BIOGRAPHE D'UN PEINTRE

Moise Kisling (1891-1953) Peintre franco polonais. 

Moise Kisling est né le 22 janvier 1891 à Cracovie, en Pologne. Suite à son engagement dans la Légion étrangère française en 1910, il a déménagé à Paris en 1912. Il a alors étudié à l'école des Beaux-Arts de la ville.

Kisling était surtout connu pour ses peintures vibrantes de la vie nocturne parisienne et de la beauté féminine. Il a également été influencé par d'autres artistes de l'école de Paris tels que Modigliani, Soutine et Utrillo.

Pendant la Seconde Guerre mondiale, Kisling a fui Paris et s'est exilé à Cannes. Il est décédé le 29 avril 1953 à Sanary-sur-Mer, dans le sud de la France.

Aujourd'hui, ses œuvres sont exposées dans les plus grands musées du monde tels que le MoMA à New York et le Centre Georges Pompidou à Paris.




LA POLOGNE PAYS MALMENÉ PAR L'HISTOIRE 

1er décembre 2014, Donald Tusk, Premier ministre de la Pologne depuis 2007, est devenu le deuxième président du Conseil européen, succédant ainsi au Belge Herman Van Rompuy. 

Ce choix des chefs d’État européens représente une vraie victoire politique pour la Pologne, qui s’affirme de plus en plus comme un des pays qui comptent dans l’Union européenne. 

Cela marque également un changement important pour un État dont la politique, depuis sa transition démocratique en 1989, a souvent été tiraillée entre des États-Unis vus comme les meilleurs garants de sa sécurité et une Europe à laquelle il se sent pleinement appartenir et qui constitue le choix du cœur autant qu’une évidence pour son développement économique. Vingt-six ans après la chute du communisme et des débuts difficiles dans l’économie de marché comme dans l’apprentissage de la démocratie, onze ans après son entrée dans l’Union, la Pologne se distingue en affichant le plus fort taux de croissance de l’UE.




Cependant, la Pologne observe avec inquiétude l’évolution à sa frontière de la crise ukrainienne, qui réveille la peur pluriséculaire d’une Russie puissante et expansionniste. 

Pays au carrefour des influences slave et germanique, son histoire très mouvementée est, de fait, indissociable de ses luttes contre les Russes mais aussi contre les Allemands, qui ont abouti à de fréquents changements de frontières, souvent en des temps rapprochés : un siècle et demi sépare son extension maximale au XVIIe siècle de sa disparition de la carte de l’Europe à la fin du XVIIIe. 

L’autre singularité du pays est sans conteste la place essentielle de l’Église et de la religion catholique dans son histoire. 

Ce sentiment d’être le rempart du catholicisme face à une Europe orientale orthodoxe ou aux intrusions musulmanes a fortement imprégné le peuple polonais, tandis que l’Église œuvrait pour entretenir le sentiment national et ses aspirations à l’indépendance.



Les Polonais entretiennent avec leur passé un rapport très étroit, reposant sur la commémoration d’événements souvent tragiques mais constitutifs de leur identité. 

Conscients que leur pays a été particulièrement malmené par l’histoire, ils tirent une fierté de leur capacité à surmonter ces épreuves. 

C’est sans doute ce sentiment qui les étreint encore aujourd’hui lorsqu’ils entonnent leur hymne national, composé en 1797, qui s’ouvre sur ces vers : « La Pologne ne disparaîtra pas tant que nous vivrons. »




LA VILLE DE CRACOVIE

Cracovie, ville du sud de la Pologne près de la frontière avec la République tchèque, est connue pour son centre médiéval bien préservé et le quartier juif. 

Sa vieille ville - entourée par le parc Planty et les vestiges de l'enceinte médiévale de la ville - abrite en son centre la majestueuse Rynek Glówny (place du marché). 

Cette place est le site de la Halle aux draps, un avant-poste commercial à la Renaissance, et la basilique Sainte-Marie, une église gothique du XIVe siècle.




LA CATHÉDRALE SAINTE MARIE DE CRACOVIE

Située dans le centre historique de Cracovie en Pologne, la basilique Sainte-Marie est l'une des plus grandes églises de la ville et l'une des attractions touristiques les plus populaires de la région. Cette église impressionnante a été construite au XIVe siècle dans un style gothique et elle est dédiée à la Vierge Marie. Elle est aussi connue sous le nom de « Kościół Mariacki » en polonais.

L'architecture de la basilique Sainte-Marie est fascinante, avec ses deux tours différentes en hauteur, l'une mesurant 82 mètres et l'autre 69 mètres. La tour la plus grande est également utilisée comme clocher et à tous les heures, un trompettiste y joue une mélodie de cuivre. Les visiteurs peuvent monter au sommet de la tour pour profiter d'un panorama magnifique sur la ville de Cracovie.



L'intérieur de la basilique Sainte-Marie est tout aussi impressionnant, avec des vitraux colorés, des fresques, des sculptures et des tombeaux de personnalités importantes de l'histoire polonaise. La pièce centrale de l'église est sans aucun doute l'autel gothique en bois sculpté du XVe siècle, connu sous le nom de « Retable de Veit Stoss ». Cet autel est l'un des plus grands autels en bois sculpté au monde et est considéré comme l'un des joyaux de l'art médiéval en Europe.

En somme, la basilique Sainte-Marie de Cracovie est l'un des sites les plus remarquables de Pologne, tant pour ses prouesses architecturales que pour sa richesse artistique. C'est un endroit à ne pas manquer pour les amateurs d'histoire, d'art et d'architecture.



LE PAPE JEAN PAUL II

Jean Paul II cardinal de Cracovie avant devenir le premier pape polonais.

C'est vrai, Karol Wojtyła, qui deviendra par la suite le Pape Jean-Paul II, a été nommé cardinal-archevêque de Cracovie en Pologne en 1964. 

Il a servi dans cette fonction pendant plus de dix ans avant d'être élu pape en 1978, faisant ainsi de lui le premier pape non italien en plus de 450 ans et le premier pape polonais de l'histoire. 

Avant de devenir cardinal, Wojtyła avait déjà une réputation de théologien et d'enseignant distingué, ainsi que d'activiste pour les droits de l'homme et la liberté religieuse en Pologne communiste. 

Sa nomination comme cardinal a cimenté sa position de leader dans l'Église catholique et l'a préparé à sa prise de fonction en tant que pape.




LE PAPE JEAN PAUL II ET 

LE COMMUNISME EN POLOGNE

Le Pape Jean Paul II a joué un rôle important dans la chute du communisme en Pologne. En tant que premier pape non italien depuis plus de 450 ans, il était considéré comme un symbole international de la lutte contre le communisme.

En Pologne, Jean Paul II était connu comme Karol Wojtyła, le prêtre polonais qui avait été évêque de Cracovie avant d'être élu pape. Pendant son pontificat, il a soutenu les opposants communistes en Pologne et a appelé à la non-violence.

En 1979, il a effectué une visite historique en Pologne, où il a célébré des messes en plein air devant des foules impressionnantes. Cette visite a inspiré une nouvelle vague de mouvements d'opposition au communisme en Pologne. En 1981, le général Wojciech Jaruzelski a instauré la loi martiale en Pologne, mais Jean Paul II a appelé les Polonais à résister pacifiquement.

Finalement, en 1989, le gouvernement communiste polonais a été renversé, et la Pologne est devenue le premier pays à échapper aux régimes communistes en Europe de l'Est. Jean Paul II a été crédité d'avoir joué un rôle important dans cette victoire pacifique contre le communisme en Pologne.




LA DIASPORA POLONAISE 

Des hommes et des femmes courageux que le travail n'effraie pas.

La situation et le nombre des Polonais en France ont évolué au cours des siècles, notamment en fonction de la situation politique en Pologne. En effet, de nombreux mouvements migratoires des Polonais ont été induits par les répressions : d'abord de la part des occupants russes, prussiens et autrichiens qui se sont partagé ce pays au xviiie siècle, puis du régime communiste instauré en Pologne après la Seconde Guerre mondiale. À ces vagues d'exilés politiques s'ajoute l’émigration économique, la plus importante numériquement, à la suite de la Première Guerre mondiale.


LA MAIN D'ŒUVRE  POLONAISE 

Dès la dépression économique de 1873-1896, la France connait une période de croissance, qualifiée a posteriori de « Belle Époque ». Mais elle manque de main-d'œuvre, notamment dans l’agriculture, à cause de l'exode rural vers les villes.

La première initiative de faire venir des ouvriers agricoles de Pologne vient de la « Société polonaise d'émigration » sise à Cracovie qui ouvre un bureau à Soissons, puis à Nancy, avec une succursale à Paris. Il s’agit de faire venir des ouvriers saisonniers à qui l’on fait signer un contrat pour les mois d’avril à octobre. Ils arrivent groupés, sont encadrés, puis retournent au pays. 



De 1908 à 1914, quelques milliers de jeunes gens, garçons et filles, s’engagent pour les travaux dans les champs dans ces conditions. 

Leur nombre est estimé à 10 000 personnes, répartis dans les départements agricoles français mais cette première expérience ne donne pas de bons résultats : obstacle de la langue, habitudes de travail différentes et un temps de présence trop bref pour s’adapter. 

Pour aider ces émigrés à rester en contact avec leurs familles en Pologne et à accéder à la pastorale polonaise, la princesse Maria Zamoyska fonde en 1908 dans sa demeure de l'hôtel Lambert au 6 quai d'Orléans à Paris une œuvre nommée « Office pour la protection des travailleurs polonais ». 

DES OUVRIERS POLONAIS

Une première petite vague de mineurs polonais arrive en France en 1909. Ce sont des spécialistes de l'extraction du charbon, recrutés par les compagnies minières du Nord et du Pas-de-Calais (les compagnies de Vicoigne, de Nœux, de Drocourt, d'Aniche et d'Anzin) parmi les Polonais installés en grand nombre dans le bassin minier de la Ruhr en Allemagne (d'où leur surnom français de « Westphaliens »). En 1912, on dénombre 2 000 Polonais (femmes et enfants compris) dans le bassin minier du Nord-Pas-de-Calais, dont 620 employés dans les mines. 

À la veille de la Première Guerre mondiale, l’immigration économique polonaise est encore fort modeste et elle ne dépasse pas 10 000 personnes . 


UNE MUSIQUE D'UN BONHEUR CONTAGIEUX

Chopin Concerto pour piano n°1

https://youtu.be/gV_x_QY1P5c



Martha Argerich : Pianiste argentine (Buenos Aires, 1941)

Pianiste incontournable depuis les années soixante, Martha Argerich est douée d’une grande maîtrise technique et d’une personnalité affirmée et charismatique. Elle se produit sur scène dès son plus jeune âge en Argentine, son pays natal, puis embrasse une carrière de soliste internationale jalonnée de succès, tout en gardant jalousement son indépendance artistique.

Les dons musicaux de Martha Argerich sont remarqués et encouragés dès l’âge de 3 ans. A 5 ans elle prend des leçons de piano avec Vincenzo Scaramuzza  et à huit ans elle se produit en récital dans le Concerto en ré mineur de Mozart et celui en ut majeur de Beethoven. 

En 1955, elle se rend en Europe pour poursuivre ses études musicales auprès de Madeleine Lipatti  et Nikita Magaloff  à Genève, et auprès de Friedrich Gulda  à Vienne. A 16 ans, elle obtient le premier prix Buzoni  à Bozen, le Premier Prix du Festival de Genève. 9 ans plus tard elle confirme son prodigieux talent en remportant à Varsovie le Prix Chopin. Dès lors, sa carrière internationale connaît un véritable envol. 

Malgré de nombreuses tournées aux Etats-Unis, au Japon et en Europe qui rencontrent un grand succès auprès des critiques et du public, Martha Argerich réalise peu d'enregistrements en studio, refusant tout contrat d'exclusivité et préférant rester libre de ses choix et de sa carrière. C'est pourquoi sa discographie se caractérise en grande partie par des enregistrements publics.

Si son tempérament la porte vers les œuvres du grand répertoire pianistique, le répertoire de Martha Argerich est très étendu. Elle trouvera notamment dans la musique de chambre un champ d'exploration exceptionnel, ainsi multiplie-t-elle les collaborations avec Gidon Kremer, Mischa Maisky, Itzhak Perlman, Yuri Bashmet, Mstislav Rostropovitch, Stephen Kovacevich, Evgueni Kissin  et Nelson Freire  pour ne citer qu'eux. Martha Argerich s'est aussi consacrée au soutien de jeunes musiciens. 

Elle fait régulièrement partie du jury de grands concours instrumentaux, et dirige depuis 1998 le festival de Beppu  au Japon. En 1999, elle créé un concours international de piano à Buenos Aires, ainsi que le Progetto Martha Argerich  (Projet Martha Argerich) à Lugano, en Suisse en 2002.

Artiste passionnée, elle a acquis la réputation d'une musicienne fascinante mais imprévisible. Son parcours de soliste internationale est aussi bien marqué par ses brillantes interprétations des œuvres les plus astreignantes du répertoire que par ses interruptions de carrière ou ses annulations de concerts.


VOUS AVEZ BON GOÛT !​ 

Ce qui m'anime dans cette quête c'est la curiosité intellectuelle, le goût de la connaissance et l'envie de savoir. Si vous êtes comme moi, avec l'envie d'apprendre, aux rivages de la beauté musicale, picturale, poétique​.​


CULTURE JAI 

(​L'Histoire de l'Art​ en Musique)

https://vincentdelaplageculturejai.blogspot.com/

LES LUMIÈRES DE VERSAILLES

​(Histoire Moderne en Musique)​

https://leslumieresdeversailles.blogspot.com/

SING SANG SUNG  

(Pop anglaise traduite)​

https://singsangsungenglishmusic.blogspot.com/

CINÉ CINÉMA  

(Netflix)​

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